En ce début d’année, les acteurs de l’industrie cosmétique élaborent les nouvelles tendances pour les emballages de leurs produits cosmétiques. En effet, les consommateurs sont aujourd’hui aussi regardant sur l’emballage qu’ils le sont sur le produit. Mais il n’est pas seulement question de forme ou de design, puisque l’année 2022 devrait être marquée par l’émergence de solutions éco-responsables comme le verre réutilisable et recyclable ou encore le papier.
Partons pour un tour d’horizon des dernières tendances de packaging cosmétique…
Le verre, grâce à son aspect haut-de-gamme, est depuis des années un matériau de choix pour les fabricants de cosmétique. La conscience écologique croissante des consommateurs a également renforcé ce choix : la grande majorité des produits d’emballage en verre sont 100% recyclables et peuvent être recyclés à l’infini sans perte de qualité et de pureté. Malgré son poids et sa fragilité, le verre est une excellente alternative aux emballages plastique : de nombreux produits cosmétiques sont composés d’eau, et nécessitent donc des contenants étanches.
L’emballage, c’est le premier contact visuel entre le consommateur et le produit, il joue donc très souvent un rôle clé, tant dans une approche marketing, que dans une volonté de l’entreprise de favoriser la durabilité et la biodégradabilité. De nombreuses études montrent d’ailleurs que les consommateurs de produits cosmétiques sont prêts à payer plus cher pour une alternative écologique. Ces dernières années, nous avons assisté à l’émergence d’emballages recyclables, réutilisables ou rechargeables.
De nombreuses marques de produits de beauté ont ainsi opté pour des emballages plus durables, comme les tubes en carton ou les emballages en papiers. Conçus comme une alternative durable aux tubes de baume à lèvres en plastique, les tubes en carton sont fabriqués à partir de papier recyclé. On peut en dire de même du papier, simple et éco-responsable, on observe une grande augmentation de son utilisation, notamment dans la cosmétique solide. Par exemple, les produits finis de SurfactGreen formulés à base de CosmeGreen, un tensioactif cationique biosourcé, sont présentés dans un emballage en papier.
